La presse et ses passeurs méconnus, intermédiaires indispensables à la circulation de la littérature américaine en France dans les années 1940

La presse a été un intermédiaire indispensable à la circulation de littérature des États-Unis dans les années 1940 en France ; pourtant, son rôle ce processus d’importation très peu étudié. Or, l’étude d’un corpus d’une quarantaine titres (Combat, Bataille, Action, Carrefour, Esprit...) confirme l’hypothèse construction « goût français » termes américaine, mais aussi le fait que l’éloge l’apport américain est rapidement critiqué périodiques, d’ailleurs toutes étiquettes, qui pu donner lieu virulentes polémiques. En outre, c’est passeurs demeurés méconnus apportent leur pierre l’édifice du discours critique autour possible influence textes d’Outre‑Atlantique sur écrivains : il s’agit d’universitaires (Las Vergnas, Sigaux, Larnac), d’aficionados exigeants (Beaumont, Blanzat, Fauchery, Hoog, Lalou, Morel) détracteurs cette importation (Henriot, Kanapa). L’arrivée massive américaine ne génère pas seulement une éphémère fébrilité médiatique au contraire, qu’est scruté moment littéraire et sont abordées problématiques essentielles, telles réalité nouveauté ou l’avènement massification par biais l’influence américaine.